Top 5 de bonnes pratiques numérique responsable

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Les différentes études scientifiques estiment que le numérique est responsable d’environ 2 à 4% des émissions de gaz à effet de serre au niveau mondial et d’une empreinte matérielle non négligeable.

Par quoi commencer, pour réduire ou limiter ces impacts à l’échelle d’une organisation ?

Parmi les bonnes pratiques, il y en a de plus impactantes que d’autres, notamment celles qui visent à limiter les externalités négatives importantes liées à la phase de fabrication, qui concentre la majorité des impacts en tenant en compte plusieurs indicateurs environnementaux.

Nous avons sélectionné un top 5 de bonnes pratiques prioritaires issues du Guide de bonnes pratiques numérique responsable pour les organisations publié par la Mission interministérielle numérique écoresponsable (MiNumEco) et l’Institut du Numérique Responsable (INR).

  1. Réduire le nombre d’équipements
  2. Réemployer en remettant en état, donnant ou vendant les équipements
  3. Privilégier les équipements issus du réemploi ou contenant des matériaux recyclés
  4. Concevoir des services numériques compatibles avec les équipements les plus anciens possibles
  5. Faire appel à un éco-organisme pour la gestion des DEEE

Il y a cependant un préalable à la mise en œuvre de certaines de ces bonnes pratiques qui nécessitent une bonne compréhension des enjeux liés à l’empreinte environnementale du numérique de la part de toutes les parties prenantes.

Enfin, il faut s’attacher à replacer la démarche Numérique responsable dans une stratégie globale de réduction des impacts environnementaux et sociaux négatifs des activités de l’organisation.

Consultation publique

Afin de valider ou d'enrichir le guide de bonnes pratiques, une consultation publique est ouverte à tous jusqu'au 1er avril 2022.

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